Comme mon texte a été vilainement censuré sur le forum de l'event, ne cherchant juste a bloquer l'artiste qui est en moi, et ainsi me privant de la célébrité et de la gloire littéraire inévitable, le prix nobel du romantisme ainsi que le césar du meilleur narrateur muet, je le post donc en version non censuré pour vous, qui j'en suis sûr, saurez l'apprécier à sa juste valeur.
Ma Tendre et douce,
Je ne t'ai point oublié ma belle, mon cœur bat sur le rythme démesuré de l'ardeur idyllique, rempli telle une barrique d’un bon vin Brakmarien, tout comme celui à base de fruit démoniaque de fourbasse de mon cousin xX-Germain-Xx (« hey Drav, en parlant de ça, yen a plus on a tout vidé »), bref je m’écarte du sujet et il ne me reste plus beaucoup de temps.
Je n'ose imaginer ce que ma séparation inattendue a engendré dans les méandres de ton cœur. Mais sache que tes yeux d'ardoise ont hanté mes soupirs, je ne puis me m'abandonner à t’oublier. Ta beauté céleste m’a poursuivit pendant toutes ces nuits. J’ai contemplé à travers la fenêtre de mes rêves ta délicatesse somptueuse, tes courbes vertigineuses et ta splendeur exponentielle,… oh je m’écarte à nouveau… (« Ouais et puis tu penses pas que t’en fais un peu trop ? Si on faisait un combat de couille ? »)
Tu vas peut-être penser que je cherche une échappatoire, mais cela c’est réellement passé, je viens de me faire oeufarder, encore plus douloureux qu’un meurtre à la cuillère, je succombe en ce moment même à des coups d’œuf de tofu durs insoutenables. A ce sujet, savais tu que bien positionné même une colère de iop boosté à son maximum ne ferait que le rendre plus propre? (« Ah bon, ouais mais ça marche pas avec les bières du chat brulé ton truc, regarde, Céliiiiiiiiiiiiiiiiiiiine paf j’l’ai coléré cul sec la binouze »)
Hum...
Mon amour envers ta personne me permet de finir ces quelques mots, mes minutes sont comptés, heuf… heuf… heuf… il ne me reste plus que 10 kamas, euh 10 minutes à vivre. .. Ceci me fait réaliser comment je suis rien sans toi, tu te serais sacrifié et t’aurais pris du plaisir à subir ces coups incessants… Bref je pense que c’est mieux ainsi, je ne te mérite pas («va droit aux putes bordel, on va pouvoir s’concentré sur ce dernier cru ! allez ! »)
Ouais bon ben voilà, j’t’aimais bien mais sans plus, te fouetter de temps en temps c’était cool, mais là tu parles de romantisme, mariage et ils vécurent heureux avec beaucoup d’enfants, blablabla, ce n’est pas pour moi ça. Bref j’te laisse, Daf m’attends avec le dernier cru, une petite bouteille trouvé dans le coffre à caleçon mignon du Chouque ça devrait être du bon, dans l’caleçon tout est bon.
Amen.
Drav.
Je remercie Daf pour son rôle d'acteur toujours en permanente évolution ainsi que tout ceux qui m'ont soutenu dans la rédaction de ce chef d'œuvre. Je remercie aussi Justin Bieber qui m'a ouvert les yeux sur la théorie du chinois qui tombe dans un bol de riz.